Le T. est à chasser et à pourchasser de la Planète

Pour ne pas enflammer le débat, nous ne prononcerons pas le mot, mais simplement la première lettre.
Il faut commencer par revoir les principes de lutte.
On ne négocie pas avec le T.  c'est faux, il faut négocier, dialoguer, car sinon c'est se priver d'un levier, d'un outil qui fait partie de la panoplie des moyens de lutte.
Toutes les forces, en qualité doivent être utilisées, mais en minimum de quantité. L'esprit de la catalyse est plus fin que la dose massive. Mot d'ordre cibler. 
Fort de la révision des principes, il faut composer une force internationale bien dosée et la plus secrète possible, qui ne rend compte d'aucune information publique.
La publication via les médias rend service au T.  et fait parler de lui. Il faut comparer le phénomène à un virus qui contamine non pas les corps, mais les esprits.
Les médias ne doivent faire aucun écho aux actes commis et aux mouvements quotidiens du T. surtout à chaud, halte aux scoops! Les médias peuvent utiliser le boycott, la grève, l'omerta pour taire ce qui est subversif, choquant, néfaste. Cela n'empêche pas de faire le bilan des faits et de marquer les étapes de la lutte.
Le tort de nombre d'émissions est de présenter les moyens de lutte dans le détail, c'est affaiblir l'antidote. 
Pour revenir sur les principes, il y a des analogies avec les mouvements des autonomistes du passé. Si les objectifs sont partiellement admis aujourd'hui, les moyens demeurent critiqués.
L'analyse des fondements est primordiale dans la lutte contre le T.
La prise de conscience est la clé de tout. A partir du moment où celle-ci a eu lieu chez les contrevenants, le phénomène est déjà désamorcé.
On comprend que si le T. ne trouve aucun relai, aucun crédit, ne rencontre que des obstacles de taille sur son parcours, il finisse par s'étioler et s'éteindre dans un processus analogue mais inverse de celui de sa génèse.
L'utilisation des armes, les griefs faits aux civils, la quête de rançons et l'intimidation ne sont pas les bons moyens pour défendre un courant de pensée, une culture, un état.