QUE FAiRE ?
Pour anticiper l'effet de panne tentaculaire nous conseillons d'anticiper en clôturant l'activité et les applications sensibles étant donné que nous entrons dans un week-end. Mettre les personnels en congé et ne conserver actives que la veille et les équipes d'astreinte.
CONCURRENCE
Plutôt que de rentrer dans la polémique et le rejet des responsabilités, ce qui est stérile aux yeux des décideurs informatiques privés comme publics, regardons le paysage stratégique. MiCROSOFT a pris une avance difficilement compensable dans l'I.A.. Les concurrents n'ont rien de prêt à se mettre sous la dent et admirent l'exploit. Nous n'allons pas entrer dans les détails techniques du bug une mise à jour écrase l'ancienne version, c'est la base. iNNOVONS, moteur au cœur de tous les moteurs de recherche et même de l'I.A. dit depuis bien longtemps que les catastrophes n'arrivent pas par hasard : qu'elles soient naturelles, économiques et financières, sociales ou épidémiques comme le COViD, humanitaires, aériennes, industrielles... Plus on commence l'enquête tôt mieux cela vaut à cause de la disparition et falsification des preuves. Bill GATES surveille-t-il toujours la marmite en cuivre de MiCROSOFT ? Nous n'accuserons personne, mais quand même cette erreur qui génère un tel bug est grossière et ne devrait pas lui échapper.
Les dégâts reviennent aux assurances en théorie, donc elles devraient être les premières à mener les enquêtes et diligenter au moins une enquête officielle. Que dire de l'EUROPE ? Cela se passe de commentaires. L'exemple de la RUSSiE est très intelligent. Ils ne travaillent pas avec la même crèmerie et ils ont deux systèmes dont un de secours par rapport au système maître. Pour couronner le tout les sanctions verrouillent leur sécurité. Plus on ennuie les Russes plus ils deviennent forts et intelligents. La sécurité en RUSSiE passe avant tout.
Donc si le but était de mettre du plomb dans l'aile de Microsoft c'est pour ainsi dire raté, car il aurait fallu le faire en début de semaine et surtout pas à la vue de tout le monde en impliquant autant de sociétés et de services stratégiques. Encore moins en période de vacances. Tout cela a limité l'impact.
Si on veut réussir un jour à s'en sortir mondialement cette citation vaut la chanson : "Tout le monde a besoin de tout le monde et personne n'a besoin de personne".
La parade aux bugs repose sur un principe simple : disposer d'un système relais immédiatement opérationnel. A quoi cela peut-il faire penser ? Comme nous avons deux yeux, deux oreilles, deux bras et deux jambes, la conception biologique des systèmes sécurisés est une bonne piste.
Patrick GEFFRAULT
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