Le conflit en UKRAiNE en 2022 offre un spectacle désolant au Monde, à ceux qui naissent, à la Jeunesse et à ceux qui nous quittent et qui disent adieu. Personne n'est encouragé par ce qui se passe, or chacun doit travailler sur cette Planète, chacun doit avoir le moral.
PLANETE iNNOVONS, Oeuvre Pacifique par excellence, au service des plus démunis avec Les Indigents du Monde, comme des plus influents avec BOURSE2050, pour ne citer que quelques web sites parmi les milliers que nous soutenons, se doit de faire entrevoir une vision autre du problème.
Convaincre Vladimir de revoir sa copie et soutenir Volodymyr dans la Résistance Ukrainienne autrement qu'en envoyant des armes suppose une approche à la fois globale et intime.
Les belligérants sont fautifs à 50/50. C'est dit. On ne se comporte plus ainsi en 2022. GLOBAL EARTH SECURiTY prouve chaque jour que la Sécurité de la PLANETE passe par les Grandes Puissances et leurs représentants. Nous comptons sur eux pour passer le relai au plus petit d'entre nous. On ne se tape pas dessus à l'école, en famille, dans la rue, au travail... C'est cela le Pacifisme. Que dire des conflits entre Pays, Grands Pays de surcroît.
A Vladimir, nous dirons mais que fais-tu? Tu ne tires pas les leçons du passé? La Grande Russie n'a pas à être amputée d'un bras ou d'une jambe, elle est appelée à un avenir qui va dans le sens d'une croix, de l'Orient à l'Occident, par chemin de fer et du nord au sud pour mille autres motifs, notamment le rétablissement du climat. Ce message est un ultimatum, c'est certain, c'est un appel à la raison qui prend en compte tous les arguments. Le tort de beaucoup est de critiquer sans comprendre. Ce pavé de texte n'est pas non plus un cocorico pour dire "J'ai trouvé la solution et résolu le problème".
A Volodymyr ZELENSKY nous dirons que nous saluons la résistance. Nous ne pouvons imaginer l'angoisse et les souffrances générées par ces combats. Mais justement, avant de mettre le feu en retour, que dirait un référendum mondial OUi ou NON à la guerre? NOWAR NOWAR NOWAR.
Nous ne téléphonerons pas à Vladimir POUTiNE, au pire il recevra un mail pour lire ce qui est ici, mais normalement via YANDEX, il a cela sous le coude. C'est à Emmanuel MACRON, Joe BiDEN et aux NATiONS UNiES de programmer le dialogue direct encadré et appuyé entre Russes et Ukrainiens. Le laisser faire a assez duré. Quand on entend dire certains qu'il y en a encore pour un an, mais comment peut-on affirmer pareille sornette.
Le retrait russe peut être rapide, le cessez-le-feu immédiat, pourvu que chacun prenne conscience de la possibilité de faire autrement mieux. Il est bien évident que ce qui pourrait passer pour un miracle aux yeux de certains, sera un phénomène qui ira au delà d'une fin de conflit. Il est clair qu'Emmanuel MACRON a les accès pour dialoguer avec les deux camps, mais n'a pas trouvé la clé.
Le conflit n'aurait jamais dû s'amorcer. C'est la première règle. Minsk avait son importance, c'était le verre d'eau qui devait éteindre le mégot. Un seau d'eau suffit à éteindre un petit foyer d'incendie au départ. Maintenant à coup de canadairs on n'y arrive pas. Il faut revenir aux principes de base.
Qu'est devenu l'UKRAiNE? Un imbroglio total, un chaos sans nom qui n'a plus d'avenir. A quoi bon dégrader pour reconstruire à l'identique? En France la Loi nous protège car le coût de reconstruction à l'identique est la règle depuis 2005 pour qui voudrait agresser le pays dans ses pierres. Le bilan va au delà de ce constat. Quand la Communauté Internationale va se rendre compte que tout a trop duré et que le conflit s'étend, elle dira à Joe BiDEN d'appuyer sur le bouton rouge. Pourquoi parce que la Russie a émis l'hypothèse d'avoir recours au nucléaire. Dans les jeux, c'est le premier qui tire qui gagne et pour confirmer ce raisonnement débile mieux vaut voir les dégâts chez les autres que chez soi. Là nous présentons nos excuses aux russes mais il faut bien dresser le scénario. Donc la Russie serait victime.
Ici cesse le descriptif du risque encouru. Tout cela n'aura pas lieu ni en Russie, ni ailleurs. Ce n'est pas une confiance aveugle accordée aux représentants des Grandes Puissances, mais une question de compétences. Vladimir POUTiNE a prouvé ses compétences et la majorité des Etats siégeant aux Nations Unies aussi. Dire par médias interposés que le leader russe est malade, que c'est un fou, qu'il est en fin de parcours, cela n'arrange rien. Si d'aventure un nouveau représentant russe devait prendre la suite, ce serait simplement une nouvelle donne.
Convoquer L'UKRAiNE et la RUSSiE à GENEVE pour dialoguer carte sur table, c'est un objectif sain et parfaitement réalisable. Le Médiateur de ces négociations se doit d'être blanc comme neige. N'avoir aucunement participé à la fourniture d'armes à l'UKRAiNE, n'avoir jamais critiqué gratuitement Vladimir POUTiNE ou les Russes. Pourquoi, parce que ces deux motifs sont vecteurs du conflit.
Il est bien évident que la Conférence pour les Solutions de Paix ne doit pas être une simagrée qui cache un plan tout cuit qui avantage, les Américains, l'EUROPE ou l'UKRAiNE. Respecter Vladimir POUTiNE n'a rien à voir avec le fait de s'incliner et dire c'est un dictateur. Le conflit engagé est une impasse. C'est difficile à admettre, mais nous sommes tous fautifs, actifs comme passifs. Pour éteindre le feu maintenant on a besoin de tous.
Nul besoin pour l'instant de pousser la démonstration, c'est un sujet à vocation journalistique, il faut agir. La piste, parmi les pistes, c'est de requalifier l'UKRAiNE en territoire libre, Etat Indépendant de l'EUROPE, de La RUSSiE et malheureusement pour certains, ne pas adhérer à l'OTAN. Placer l'UKRAiNE en surveillance pendant sa reconstruction est la meilleure façon de rendre libre ce grand pays.
Cette analyse est là pour dire STOP avant qu'il ne soit trop tard.
Patrick GEFFRAULT
Dimanche 29 mai 2022 à 18h30
ABOMiNABLE GUERRE
Le constat est accablant. Un conflit lent qui s'enlise, des pertes humaines et matérielles intolérables, une pollution énorme de la nature et de l'air, un imbroglio stratégique qui discrédite les puissances, une guerre de plus dont pourrait se passer l'humanité.
Étonnante la passivité dont font preuve nombre d'entités et de personnalités. Nous avons tous les outils pour éviter les guerres. Donc la première étape était de ne pas investir l'UKRAiNE, la seconde ne pas entrer en résistance et enfin de stopper tout combat quel qu'il soit. La voie diplomatique demeure et prévaut en tout. Elle est toujours accessible et valorise les hommes à travers les organisations.
Comment dénouer un tel écheveau? Nous avons besoin d'intervenants pour piloter une négociation à travers l'ONU. Certains pays, responsables, qui brillent par leur neutralité, leur recul et leur intelligence doivent monter au créneau. Cette cellule une fois définie et reconnue a pour mission d'inviter les deux camps à cesser les combats. Qui dit intelligent dit éclairé. L'intelligence n'est autre que: "Le meilleur comportement dans une situation donnée" donc rien a voir ou presque avec le QI.
Continuons. Cessez-le-feu, entrée en négociations, mesures de secours d'urgence, sécurisation de la zone, reconstruction, tracé d'avenir. Faut-il sanctionner les crimes de guerre? Inévitablement, car il faut payer les pots cassés. Agression, fourniture d'armes, exactions, non respect des codes, chacun a pris ses responsabilités au delà des limites, force est d'assumer les délits. Voilà pour l'aspect chirurgical, local. Mais il ne faut pas oublier l'état de santé général du patient, c'est à dire la guerre des blocs au niveau planétaire. Nous sommes tous dans le même bateau qui coule. Nous avons intérêt à ramer vite et réparer aussi vite. Donc pas le temps pour des états d’âme, des cocoricos et de la gloriette. Les Nations Unies ont vraiment leur rôle à jouer pour un nouveau départ.
Notre objectif loupé de 2000, c'est 2050. Soyons prêts. Qu'est-ce que 2050? Tout le monde en parle, mais personne ne sait ce que c'est? C'est le point de bascule. Jusqu'à cette date, l'homme n'aura cessé d'exploiter sa Planète. A partir de 2050, on fera l'inverse. Et pour cela nous avons besoin d'être nombreux, contrairement à toutes les thèses. A nous de voir ce qui doit changer. C'est surtout un comportement individuel pour une résultante de masse.
Donc stopper la guerre RUSSiE-UKRAiNE c'est ni plus ni moins arrêter de fumer pour sauver les poumons de La Planète.
Du même auteur, le 6 mars 2023
DES AVANCEES SPECTACULAiRES le 24 Février 2024
Le sommet pour la Paix de Genève se programme. Nous saluons et félicitons cette avancée très importante sur la bonne voie. Sommet à l'initiative de la Suisse, éternelle puissance de la neutralité et de la Paix, un pays où il fait bon vivre et qui a tout compris.
Comme une naissance, l'idée de paix a germé, ce processus est en croissance, pierre par pierre il va se construire.
La guerre est un grand gâchis pour les vies perdues, un gaspillage économique et une injure écologique qui pollue les riches plaines d'UKRAiNE. Chacun doit bloquer ses positions maintenant. La prochaine étape est le statu quo. On cesse le feu et on dresse le bilan de la situation, sans charger ni l'un ni l'autre.
Pour réussir à convaincre la RUSSiE, il faut prendre en compte ses motivations vraies à l'annexion ukrainienne. Il faut mettre à plat les dossiers et résoudre les questions fondamentales qui génèrent le comportement russe. Donc cela passe par la révision des sanctions et la définition d'objectifs communs de paix, de construction d'un avenir à appréhender.
Quels peuvent être les outils? La planification, la coopération, les préconisations.
Quels objectifs ? 2050 est l'objectif pertinent. 2050 peut et sera l'objectif raté de l'an 2000. 2050, point de bascule pour la planète et l'humanité. On commence à rendre à la planète ce qu'elle nous a donné.
On peut bâtir un sérieux et réel programme autour de l'idée d'aller dans le même sens plutôt que tous azimuts. Citons un point, important, la démographie. Mais il y a aussi les ressources et le mode de vie et autant de sujets de développement. A suivre.
La Conférence pour la Paix en UKRAiNE à l'initiative des Puissances pacifistes "alignées" sur LA SUiSSE, est l'occasion unique donnée à la RUSSiE et Vladimir POUTiNE de s'affirmer sur la scène internationale pour défendre un nouvel ordre mondial. Nous sommes tous au pied du mur pour choisir notre avenir. Désarmer, démilitariser, humaniser, pacifier et construire du solide tous ensemble.
On ne peut pas croire que Vladimir ne viendra pas. Il viendra, c'est certain.
15 Juillet 2024 VOLODYMYR ZELENSKY s'avance sur une seconde Conférence sur la Paix en présence de la RUSSiE
iNNOVONS a 4 principes de base : le chef est seul pour prendre les décisions contre vents et marées, la meilleure construction est celle basée sur le principe de la pyramide, il faut garder l'équilibre quoiqu'il arrive et enfin créer le relief quand tout est plat.
L'idée qui semble dénouer le blocage russo-ukrainien est celle de frontière. On ne parlerait pas d'annexion mais d'une zone frontalière. Que veulent concrètement les Russes ? Que veulent les Ukrainiens ? La vie va pouvoir reprendre son cours.
L'urgence est à présent le cessez-le-feu.
Car si les F-16 ou les missiles moyenne portée entrent en action ce qui est un projet fou autant que la IIIème Mondiale, il est évident que la réplique russe ne sera pas de gaité de cœur d'actionner l'arme nucléaire. Les spéculations sur l'élection américaine et la reconfiguration de l'OTAN sont des facteurs d'évolution également.
Où l'UKRAiNE a le plus à gagner c'est dans la voie de l'indépendance qui lui permettra d'assurer sa sécurité, sa reconstruction, ses échanges autant avec l'Est autant que l'Ouest. En ne consacrant pas ses moyens à la défense mais en les concentrant sur des objectifs humains et économiques elle pansera ses plaies certainement plus rapidement qu'à se faire dicter une conduite dans la crainte de conflits ou d'annexion. Tenir tête à la RUSSiE n'est pas une fin en soi. Redonner à l'UKRAiNE une souveraineté aux confins de L'EUROPE et de la RUSSiE est un challenge digne d'un chef d'Etat éclairé.
Patrick GEFFRAULT